Arriérés de loyer : l’ex international Alassane Ndour rejette tous les les torts sur celle dont il a divorcé il y a 15 mois

L’ancien international Alassane Ndour « n’est mêlé ni de près ni de loin » à l’affaire d’arriérés de location rapportée par Les Échos dans son édition de ce jeudi et repris par Seneweb. Le cabinet d’avocats Scpa Léon Patrice & Sylva dite LPS a fait le démenti dans un communiqué parvenu à Tract.sn.

« La réalité est tout autre, signale les avocats d’Alassane Ndour. Le local en question est un magasin et non une villa (comme avancé par le journal). Ce magasin est occupé et exploité par l’ex-épouse du sieur Ndour pour les besoins de son commerce. »

Alassane Ndour payait la location du magasin. À ce moment-là, il était encore dans les liens du mariage avec son ex, et son nom était sur le contrat.

« Après le divorce, le sieur Ndour n’a pas jugé nécessaire de résilier le contrat, d’autant plus que son ex-femme y entretenait toujours son commerce, informe le cabinet d’avocats. Ainsi naquit l’accord tacite entre les ex-époux, la dame continuant d’exploiter le magasin et assumant le paiement du loyer. Cela fait maintenant 15 mois. »

L’ancien international, renseigne le communiqué, a appris le litige ce jeudi matin avec l’article en question. « Il tient à affirmer et réaffirmer qu’il n’est, ni de près ni de loin, mêlé à ce contentieux », martèle les avocats d’Alassane Ndour.

Avant le communiqué des avocats, Bamba Fall, gérant de l’agence immobilière en conflit avec l’ex-épouse de l’ancien Lion, a contacté Seneweb pour faire les mêmes précisions. Ajoutant qu’Alassane Ndour, à l’époque où il avait en charge le loyer du magasin de son ex, « payait très souvent par avance ». « Son seul tort, souligne Fall, c’est de n’avoir pas résilié le contrat, qui était à son nom, après son divorce.